La médecine au naturel
Médecines dites douces ou plutôt médecines naturelles, elles sont souvent opposées à la médecine dite traditionnelle qui fait appel à des produits issus de la chimie.
Quelques exemples de médecines douces
- L’homéopathie consiste à traiter un malade avec une substance qui peut être toxique pure mais qui administrée à des doses infinitésimales devient thérapeutique. La substance utilisée est d’origine végétale, minérale ou animale. Il est possible d’employer l’homéopathie à tous les âges et chez la femme enceinte et/ou allaitante.
- La phytothérapie utilise des plantes pour leurs vertus thérapeutiques. Elles peuvent être administrées sous forme de gélules, tisanes, extraits liquides … différentes présentations qui donnent des concentrations et des compositions d’actifs différentes.
- Avec l’aromathérapie, on emploie les huiles essentielles contenues dans certaines plantes aromatiques.
- Dans l’oligothérapie, on se sert d’oligoéléments : ions métalliques présents en petite quantité dans l’organisme (argent, chrome, cuivre, magnésium…).
La médecine douce ne convient pas à tous
Phytothérapie, aromathérapie et oligothérapie ne conviennent pas forcément à tout le monde. En fonction de l’âge, de l’état pathologique… elles peuvent ou non être conseillées. Leur origine naturelle n’implique pas qu’elles soient toujours inoffensives mais un emploi raisonné, avec l’avis d’un professionnel de santé vous apportera toute satisfaction. De plus, il aura pris le soin de choisir ses fournisseurs pour avoir la garantie d’un produit de qualité, adapté à un usage thérapeutique, contrôlé et non frelaté.
Allopathie, phytothérapie, homéopathie, oligothérapie … employées à bon escient restent toutes des thérapies qu’il ne faut pas opposer les unes aux autres mais que l’on aurait bien souvent intérêt à associer !